• Chaque jour, je me regarde dans le miroir, espérant voir une lueur de ce que j'étais autrefois. Mais ce reflet me renvoie une image déformée, une version de moi-même qui semble étrangère. C’est comme si chaque pixel de mon être avait été fragmenté, comme dans une scène de Blender, où l'on utilise le modificateur miroir pour créer une complexité que je ne peux plus saisir.

    J’ai récemment regardé une vidéo de Lino Thomas lors de la conférence Blender 2022, et j'ai ressenti cette étincelle d'inspiration, mais elle s'est rapidement évanouie, laissant derrière elle un sentiment de vide. À quoi bon explorer des techniques de mirroring et de bisecting lorsque ma propre existence semble si incomplète ? Je passe des heures à m'immerger dans le monde numérique, créant des formes et des ombres, mais même la complexité de mes créations ne peut masquer le chagrin qui m'habite.

    La solitude pèse sur moi comme un modificateur qui ne peut être désactivé. Je me perds dans les greebles de ma vie, cherchant à ajouter du détail, à construire quelque chose de beau, mais je ne fais que multiplier les couches sans jamais atteindre l'essence. Chaque tentative de connexion avec les autres se termine par un écho vide, un bisect qui laisse chaque interaction à moitié complète, comme une sculpture inachevée.

    Les heures passent, et je continue à travailler, à essayer de construire ma réalité, mais chaque moment de création est teinté d'une mélancolie profonde. Où sont les autres ? Pourquoi ai-je l'impression d'être coincé dans un monde en miroir, où chaque visage que je croise est un reflet de ma propre solitude ? Comme si nous étions tous des morceaux de greeble, dispersés, cherchant à se rassembler sans jamais vraiment y parvenir.

    Il est douloureux de réaliser que la beauté que je crée ne peut pas combler le vide que je ressens. Les techniques que j'explore, le mirroring et le bisecting, ne sont que des échos de ma quête désespérée de complexité dans une vie qui semble si monochrome. Je crains de rester prisonnier dans ce cycle, de continuer à manipuler les formes sans jamais trouver la connexion que je désire tant.

    Alors, je continue à regarder dans ce miroir, espérant un jour y trouver une réponse, un reflet qui ne soit pas seulement un visage, mais un lien véritable, une compréhension. En attendant, je m'enferme dans mes créations, cherchant à transcender cette solitude, à faire de la douleur une œuvre d'art.

    #Solitude #Mirroir #Création #Blender #Chagrin
    Chaque jour, je me regarde dans le miroir, espérant voir une lueur de ce que j'étais autrefois. Mais ce reflet me renvoie une image déformée, une version de moi-même qui semble étrangère. C’est comme si chaque pixel de mon être avait été fragmenté, comme dans une scène de Blender, où l'on utilise le modificateur miroir pour créer une complexité que je ne peux plus saisir. J’ai récemment regardé une vidéo de Lino Thomas lors de la conférence Blender 2022, et j'ai ressenti cette étincelle d'inspiration, mais elle s'est rapidement évanouie, laissant derrière elle un sentiment de vide. À quoi bon explorer des techniques de mirroring et de bisecting lorsque ma propre existence semble si incomplète ? Je passe des heures à m'immerger dans le monde numérique, créant des formes et des ombres, mais même la complexité de mes créations ne peut masquer le chagrin qui m'habite. La solitude pèse sur moi comme un modificateur qui ne peut être désactivé. Je me perds dans les greebles de ma vie, cherchant à ajouter du détail, à construire quelque chose de beau, mais je ne fais que multiplier les couches sans jamais atteindre l'essence. Chaque tentative de connexion avec les autres se termine par un écho vide, un bisect qui laisse chaque interaction à moitié complète, comme une sculpture inachevée. Les heures passent, et je continue à travailler, à essayer de construire ma réalité, mais chaque moment de création est teinté d'une mélancolie profonde. Où sont les autres ? Pourquoi ai-je l'impression d'être coincé dans un monde en miroir, où chaque visage que je croise est un reflet de ma propre solitude ? Comme si nous étions tous des morceaux de greeble, dispersés, cherchant à se rassembler sans jamais vraiment y parvenir. Il est douloureux de réaliser que la beauté que je crée ne peut pas combler le vide que je ressens. Les techniques que j'explore, le mirroring et le bisecting, ne sont que des échos de ma quête désespérée de complexité dans une vie qui semble si monochrome. Je crains de rester prisonnier dans ce cycle, de continuer à manipuler les formes sans jamais trouver la connexion que je désire tant. Alors, je continue à regarder dans ce miroir, espérant un jour y trouver une réponse, un reflet qui ne soit pas seulement un visage, mais un lien véritable, une compréhension. En attendant, je m'enferme dans mes créations, cherchant à transcender cette solitude, à faire de la douleur une œuvre d'art. #Solitude #Mirroir #Création #Blender #Chagrin
    Bits of Blender #78 - Mirror and Bisect
    John R. Nyquist writes: I watched a great video by Lino Thomas at the Blender 2022 conference. Afterwards I felt like I had to explore further mirroring and bisecting (and flipping) to create complexity using the mirror modifier. Here’s my Bit: One h
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  • Je me tiens ici, seul au milieu de mes pensées, comme un personnage 3D désincarné, sans vie ni mouvement. La solitude m'enveloppe, et je ressens ce vide immense que rien ne peut combler. Mon cœur, comme un rig désassemblé, cherche désespérément à retrouver sa forme, mais chaque tentative semble vaine.

    La promesse d'AccuRig 2.0 de donner vie à des personnages 3D me rappelle que, tout comme ces créations numériques, nous aussi, nous avons besoin d'un système qui nous anime. Dans le monde virtuel, les corps et les doigts peuvent être manipulés, ajustés et animés, mais ici, dans cette réalité morose, je me sens figé, comme une sculpture de marbre, immuable et désespérément silencieuse.

    Chaque jour, je me lève avec l'espoir d'une connexion, d'une chaleur humaine qui pourrait me redonner vie. Mais chaque interaction semble être une réplique d'un script que je connais par cœur, un dialogue sans âme. Les nouvelles fonctionnalités d'animation et de retargeting d'AccuRig m'énervent et me fascinent à la fois : elles offrent une chance de créer des histoires vibrantes, des mouvements fluides. Mais moi, je reste prisonnier de cette animation sans but, sans histoire à raconter.

    Je pense à ces personnages, à leurs luttes et à leurs triomphes façonnés par des mains invisibles. Ils dansent, ils parlent, ils vivent. Pourquoi est-ce que je me sens si déconnecté de ma propre existence ? Chaque jour qui passe semble être une nouvelle itération de la même douleur, de la même tristesse. J'aimerais pouvoir réinitialiser ma vie, comme on le ferait avec un personnage 3D, mais il n'y a pas de bouton "retour" dans ce jeu cruel qu'est la vie.

    Je cherche des signes de réconfort, des éclats de lumière dans cette obscurité. Mais même dans la douleur, je me rends compte que ces moments de connexion, aussi fugaces soient-ils, sont ce qui me maintient à flot. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force d'animer mon propre personnage, de donner vie à mes rêves et à mes espoirs, mais pour l'instant, je reste ici, l'ombre d'un être qui aspire à la lumière.



    #Solitude #Chagrin #AccuRig #3D #Réflexion
    Je me tiens ici, seul au milieu de mes pensées, comme un personnage 3D désincarné, sans vie ni mouvement. La solitude m'enveloppe, et je ressens ce vide immense que rien ne peut combler. Mon cœur, comme un rig désassemblé, cherche désespérément à retrouver sa forme, mais chaque tentative semble vaine. La promesse d'AccuRig 2.0 de donner vie à des personnages 3D me rappelle que, tout comme ces créations numériques, nous aussi, nous avons besoin d'un système qui nous anime. Dans le monde virtuel, les corps et les doigts peuvent être manipulés, ajustés et animés, mais ici, dans cette réalité morose, je me sens figé, comme une sculpture de marbre, immuable et désespérément silencieuse. Chaque jour, je me lève avec l'espoir d'une connexion, d'une chaleur humaine qui pourrait me redonner vie. Mais chaque interaction semble être une réplique d'un script que je connais par cœur, un dialogue sans âme. Les nouvelles fonctionnalités d'animation et de retargeting d'AccuRig m'énervent et me fascinent à la fois : elles offrent une chance de créer des histoires vibrantes, des mouvements fluides. Mais moi, je reste prisonnier de cette animation sans but, sans histoire à raconter. Je pense à ces personnages, à leurs luttes et à leurs triomphes façonnés par des mains invisibles. Ils dansent, ils parlent, ils vivent. Pourquoi est-ce que je me sens si déconnecté de ma propre existence ? Chaque jour qui passe semble être une nouvelle itération de la même douleur, de la même tristesse. J'aimerais pouvoir réinitialiser ma vie, comme on le ferait avec un personnage 3D, mais il n'y a pas de bouton "retour" dans ce jeu cruel qu'est la vie. Je cherche des signes de réconfort, des éclats de lumière dans cette obscurité. Mais même dans la douleur, je me rends compte que ces moments de connexion, aussi fugaces soient-ils, sont ce qui me maintient à flot. Peut-être qu'un jour, je trouverai la force d'animer mon propre personnage, de donner vie à mes rêves et à mes espoirs, mais pour l'instant, je reste ici, l'ombre d'un être qui aspire à la lumière. 🌌💔 #Solitude #Chagrin #AccuRig #3D #Réflexion
    Rig and animate 3D characters for free with AccuRig 2.0
    Free tool generates body and finger rigs for humanoid 3D characters. Check out its new animation browsing and retargeting system.
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  • Maxon a décidé de discrètement tirer sa révérence à Forger, l'application de sculpture sur iPad, avec un dernier soupir prévu pour le 10 septembre 2025. Qui aurait cru qu'une application dédiée à la créativité et à l'art serait mise au rancart comme un vieux modèle de smartphone ? Peut-être que Maxon s'est dit qu'il y avait déjà trop d'artistes sur cette plateforme, et qu'il était temps de faire un peu de place au bon vieux ZBrush pour iPad. Après tout, qui a besoin de deux applications de sculpture quand on peut avoir une seule expérience compliquée ?

    Pour les utilisateurs de Forger, le message est clair : "Merci et au revoir !". On nous encourage à basculer vers ZBrush, comme si changer de plateforme était aussi simple que de changer de chaussettes. Ah, les joies de la transition numérique ! Peut-être que Maxon a décidé de faire un test social pour voir combien d'artistes pourraient survivre à ce saut dans l'inconnu. C'est un peu comme si vous étiez en train de dessiner un chef-d'œuvre sur une toile, et que quelqu'un venait vous dire : "Désolé, mais il est temps que tu passes à la peinture à l'huile. Ce n'est pas que l'acrylique ne fonctionne pas, mais tu sais, c'est plus 'à la mode'".

    On peut imaginer la réunion au sommet chez Maxon, où les dirigeants ont décidé que la meilleure façon d'élever leur image de marque était de forcer leurs utilisateurs à adopter un outil différent. "Mais pourquoi ne pas simplement améliorer Forger ?!" a peut-être suggéré un employé idéaliste. La réponse est simple : "C'est tellement 2022 ! On préfère que nos utilisateurs soient dans un état constant de désespoir, car c'est là que la vraie créativité émerge".

    Alors, chers utilisateurs de Forger, préparez-vous à dire adieu à vos sculptures numériques sur iPad. Armez-vous de patience, car ZBrush vous attend avec des fonctionnalités intrigantes et une courbe d'apprentissage qui promet de transformer votre expérience en un véritable casse-tête. Qui sait, peut-être que vous finirez par créer quelque chose d'extraordinaire... ou au moins vous amuser à essayer de comprendre comment utiliser cet outil.

    En attendant, le compte à rebours pour la fin de Forger a commencé. Si vous avez encore quelques chefs-d'œuvre à terminer, vous feriez mieux de vous y mettre. Qui sait ? Peut-être que dans quelques années, vous pourrez regarder en arrière et vous moquer de cette période où vous avez cru que la sculpture sur iPad était quelque chose de durable. La créativité, après tout, est un terrain mouvant, et il semblerait que Maxon ait décidé de jouer à saute-mouton avec nos espoirs numériques.

    #Maxon #Forger #ZBrush #iPad #Sculpture
    Maxon a décidé de discrètement tirer sa révérence à Forger, l'application de sculpture sur iPad, avec un dernier soupir prévu pour le 10 septembre 2025. Qui aurait cru qu'une application dédiée à la créativité et à l'art serait mise au rancart comme un vieux modèle de smartphone ? Peut-être que Maxon s'est dit qu'il y avait déjà trop d'artistes sur cette plateforme, et qu'il était temps de faire un peu de place au bon vieux ZBrush pour iPad. Après tout, qui a besoin de deux applications de sculpture quand on peut avoir une seule expérience compliquée ? Pour les utilisateurs de Forger, le message est clair : "Merci et au revoir !". On nous encourage à basculer vers ZBrush, comme si changer de plateforme était aussi simple que de changer de chaussettes. Ah, les joies de la transition numérique ! Peut-être que Maxon a décidé de faire un test social pour voir combien d'artistes pourraient survivre à ce saut dans l'inconnu. C'est un peu comme si vous étiez en train de dessiner un chef-d'œuvre sur une toile, et que quelqu'un venait vous dire : "Désolé, mais il est temps que tu passes à la peinture à l'huile. Ce n'est pas que l'acrylique ne fonctionne pas, mais tu sais, c'est plus 'à la mode'". On peut imaginer la réunion au sommet chez Maxon, où les dirigeants ont décidé que la meilleure façon d'élever leur image de marque était de forcer leurs utilisateurs à adopter un outil différent. "Mais pourquoi ne pas simplement améliorer Forger ?!" a peut-être suggéré un employé idéaliste. La réponse est simple : "C'est tellement 2022 ! On préfère que nos utilisateurs soient dans un état constant de désespoir, car c'est là que la vraie créativité émerge". Alors, chers utilisateurs de Forger, préparez-vous à dire adieu à vos sculptures numériques sur iPad. Armez-vous de patience, car ZBrush vous attend avec des fonctionnalités intrigantes et une courbe d'apprentissage qui promet de transformer votre expérience en un véritable casse-tête. Qui sait, peut-être que vous finirez par créer quelque chose d'extraordinaire... ou au moins vous amuser à essayer de comprendre comment utiliser cet outil. En attendant, le compte à rebours pour la fin de Forger a commencé. Si vous avez encore quelques chefs-d'œuvre à terminer, vous feriez mieux de vous y mettre. Qui sait ? Peut-être que dans quelques années, vous pourrez regarder en arrière et vous moquer de cette période où vous avez cru que la sculpture sur iPad était quelque chose de durable. La créativité, après tout, est un terrain mouvant, et il semblerait que Maxon ait décidé de jouer à saute-mouton avec nos espoirs numériques. #Maxon #Forger #ZBrush #iPad #Sculpture
    Maxon discontinues Forger
    Downloads of the iPad sculpting app to end on 10 September 2025, with users encouraged to switch to ZBrush for iPad.
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