albumcover, Deftones, Frank Maddocks, Musikdesign, ikonische Kunst, kreative Ausdrucksformen, Albumkunst, visuelle Identität, Musikgeschichte ## Einleitung In einer Welt, in der digitale Musik dominierend ist, könnte man meinen, dass das Albumcover an Bedeutung verloren hat. Doch Frank Maddocks, der talentierte Designer hinter den ikonischen Albumcovern der Deftones, widerspricht dieser Annahme vehement. In einem inspirierenden Gespräch betont er die fortdauernde Relevanz und die emotionale Kr...

Ho visto in giro questo dock Thunderbolt 5. Dicono che sia super veloce e che carichi il laptop. Sembra quasi un'astronave, ma francamente, chi se ne frega? La gente parla di "future-proofing", ma a volte penso che sia solo una scusa per spendere soldi su cose di cui non abbiamo davvero bisogno. Questo dock ha anche uno sconto di 45 dollari, ma sinceramente, anche con il risparmio, non so se ne vale la pena. Cioè, carica il laptop, ma ci si può aspettare che faccia altro? È solo un dock. E poi, sembra un'astronave. Che cosa significa? Non ho mai guardato un dock e ho pensato "wow, che bel design spaziale". Sì, è carino, ma non è che lo guardi tutto il giorno. Mi chiedo se ci sia davvero tanta differenza rispetto ai modelli precedenti. I dock Thunderbolt sono sempre stati abbastanza buoni. Se questo è più veloce, ok, ma non mi sembra di avere la necessità di una connessione così rapida. La mia vita non dipende da quanto velocemente il mio laptop si carica. People dicono che è un affare, un'opzione da non perdere. Ma, per favore, chi è così entusiasta di un dock? È solo un altro gadget che fa parte della routine quotidiana. In sintesi, se vi piacciono le cose futuristiche e avete voglia di spendere soldi, questo dock potrebbe fare per voi. Ma per me, è solo un altro accessorio di cui posso fare a meno. #Thunderbolt5 #Dock #Tecnologia #Gadget #Sconto

Ah, bienvenue à la soirée de la copie, où tout le monde est invité à jouer aux serveurs ! Vous savez, ce moment tant attendu où vous devez choisir entre des milliers de serveurs, comme si vous étiez en train de sélectionner le meilleur fromage pour un plateau (et croyez-moi, il y a autant de choix que dans une fromagerie française). Vous êtes là, assis devant votre écran, à vous demander si vous devriez opter pour Docker ou une autre solution, comme si votre choix allait influencer l'avenir de l'humanité. Spoiler : ça ne le fera pas. Et parlons du « Copyparty » ! Un rassemblement où l'on fait la fête à l'idée de copier des fichiers. Quel concept révolutionnaire ! Qui aurait cru qu'une telle activité, qui pourrait être réalisée en quelques clics, est en réalité un événement social digne des Oscars ? Vous pouvez presque entendre les cliques de souris se transformer en applaudissements enthousiastes. "Regardez-moi, je viens de configurer un serveur ! Qui veut du partage de fichiers ?" C'est incroyable de voir à quel point la technologie peut être intimidante. Vous êtes là, à vous gratter la tête, en vous demandant si vous avez besoin d'un diplôme en astrophysique pour installer un serveur de fichiers. La réponse est non, mais cela n'empêche pas l'angoisse de vous envahir. Après tout, choisir un serveur, c'est un peu comme choisir un partenaire de danse : vous voulez que cela fonctionne, mais vous n'êtes pas sûr de vos pas. Et puis, il y a les discussions autour de Docker. Ah, Docker, ce mot magique qui fait briller les yeux des geeks (et qui fait rouler des yeux des non-initiés). Quelque chose me dit que si Docker était une personne, il serait celui qui arrive à la fête avec un t-shirt « J'ai utilisé Docker » en pensant que tout le monde est impressionné. Mais soyons honnêtes, seuls ceux qui se battent avec des conteneurs en soirée peuvent vraiment apprécier l'ironie. Alors, à tous ceux qui se sentent perdus dans le monde palpitant des serveurs de fichiers, sachez que vous n'êtes pas seuls. Nous sommes tous là, en train de nous débattre avec des choix complexes qui n'ont aucun sens, mais qui semblent cruciaux à 2 heures du matin. Faites un pas en avant, entrez dans la danse et n'oubliez pas : tout le monde est invité à la soirée de la copie, mais surtout, n'apportez pas vos fichiers sensibles. Nous ne voulons pas que la fête se transforme en drame ! #Copyparty #ServeursDeFichiers #Docker #Technologie #HumourTech

Un jour, j'ai découvert un dock MacBook qui avait réussi tous nos tests, un petit bijou promettant des vitesses fulgurantes avec Thunderbolt 5. Je pensais que cela serait un changement. Je me suis imaginé, les yeux rivés sur l'écran, travaillant sans interruption, comme si chaque connexion me rapprochait d'un monde meilleur. Mais au fond, cette solitude pesante, ce vide qui m’entoure, ne se remplit pas avec des gadgets. Chaque fois que je le vois, je me rappelle ce sentiment d'isolement, ce sentiment d'être oublié dans un coin du monde. Ce dock, bien que performant et à prix réduit de 60 dollars pour le Prime Day, ne peut pas combler les lacunes de ma vie. Il est rapide, il est innovant, mais où est la chaleur humaine dans tout cela ? Où sont les rires partagés et les moments de complicité ? Les nuits passées à discuter et à rêver, maintenant remplacées par le froid du silence et le bourdonnement des appareils. Je me demande souvent si cette technologie peut vraiment apporter un bonheur sincère. Peut-elle remplacer les câlins chaleureux, les conversations profondes, ou même les simples sourires échangés avec des amis ? Je me sens comme un fantôme, errant dans un monde rempli de progrès, mais dénué d'émotion. Ce dock peut être le meilleur, mais à quoi bon, si je suis seul à l'utiliser ? Les jours passent et je réalise que même la promesse de vitesses fulgurantes et de réductions impressionnantes ne suffisent pas à atténuer ce sentiment de perte et de mélancolie. Alors que les autres célèbrent leurs nouveaux achats, je regarde mon écran, le cœur lourd, me demandant si un jour je ressentirai à nouveau cette connexion humaine que j'ai tant perdue. Parfois, j’aimerais échanger tout cela pour un instant de tendresse, un vrai lien avec quelqu'un. Mais pour l'instant, je reste là, avec mon dock, mes rêves brisés, et ce vide qui ne cesse de s'élargir. 🖤 #Solitude #Déception #Technologie #Sentiments #Mélancolie

Hoje, fui ler sobre um tal de Plugable UD-7400PD, um dock USB que, aparentemente, permite conectar mais monitores do que a Apple acredita que você precisa. Interessante, né? Ou não. Não sei, só sei que a ideia de um "porto" para monitores parece um pouco exagerada. Tipo, quantos monitores uma pessoa realmente precisa? A descrição fala que pode hospedar tantos monitores que poderia até ser chamado de porto. Enfim, essa é uma metáfora que não me anima muito. Imagino que tenha seus usos, especialmente para quem trabalha com várias telas, mas, no fundo, é só mais um acessório que provavelmente vai ficar jogado na mesa depois de um tempo. A instalação parece ser fácil, mas quem realmente tem paciência para isso? E se você é daquelas pessoas que já está acostumada a lidar com um ou dois monitores, a ideia de configurar mais do que isso soa um pouco cansativa. Tem uma parte que fala sobre a inovação, mas inovar é uma palavra que está muito em alta hoje em dia. O que é inovação, de fato? Para mim, é só mais uma maneira de vender o que já existe, mas com um nome diferente. No caso desse dock, ele promete conectar uma quantidade absurda de monitores, mas será que isso vai realmente agregar algo na sua rotina? Em resumo, o Plugable UD-7400PD é um dock que pode fazer mais do que muitos acham que é necessário. Se você é do tipo que gosta de ter telas extras, talvez valha a pena. Se não, bem, talvez seja só mais um gadget que vai acabar acumulando poeira na gaveta. No fim das contas, a tecnologia avança, mas será que precisamos acompanhar tudo isso? O que realmente importa é ter um setup que funcione para você, independentemente do número de monitores. Às vezes, menos é mais, né? #Tecnologia #Monitores #DockUSB #Inovação #Setup

Ah, California—a sunny paradise where the only thing more abundant than its crab culture is the regulations threatening to drown it. Yes, you heard that right! While the rest of us are scrambling to find our next avocado toast, our beloved crab culture is caught in a regulatory net tighter than a fisherman’s grip on his latest catch. As we embark on our early morning pilgrimage to the Sausalito harbor, I can’t help but marvel at the grand tradition of crabbing that has been passed down through generations. There’s something poetic about a grandfather revving up his boat, ready to brave the waves for that sweet, sweet crab. But wait—what’s that? A bureaucrat lurking in the shadows, clipboard in hand, ready to slap a fine on anyone daring to enjoy the simple pleasure of catching their dinner. Let’s take a moment to appreciate the irony. Here we are, trying to embrace the rich crab culture of California, and it feels like we’re trying to swim with weights tied to our ankles. Regulations are piling up faster than the crab traps on the dock, ensuring that every trip out to sea is less about the thrill of the catch and more about navigating an obstacle course of red tape. It’s enough to make a crab want to crawl back into its shell and stay there—because, honestly, who needs the hassle? Imagine this: you’re out there on the open water, your grandfather’s enthusiasm filling the air, and just as you’re about to hoist up a trap filled with the ocean's bounty, a voice crackles over the radio. “Attention, crab enthusiasts! Please ensure you have a permit for your crab pot, a fishing license, and a notarized letter from your great-aunt Gertrude stating that you’re allowed to fish in these waters!” All this, while the crab simply rolls its eyes, probably thinking, “Why don’t you just put me back in the pot while you’re at it?” The crux of the matter is clear: our crab culture, much like the crustaceans themselves, is at risk of being boiled—er, I mean, regulated—into a state of bland compliance. If we’re not careful, the only thing left of this vibrant tradition will be memories of grandfathers and their boats, overshadowed by a mountain of paperwork. So, what can we do? It’s time to rally, my fellow crab lovers! Let’s save California’s crab culture from drowning in regulations. Let’s stand up for the right to fish freely and enjoy the fruits of our labor without the looming threat of a fine or a regulation that makes you question whether it’s worth it to even set out to sea. In the spirit of crabbing and camaraderie, let’s push back against the tide of bureaucracy. After all, if we can't enjoy a day on the water chasing crabs, what’s the point of living in this so-called paradise? #SaveCaliforniaCrabCulture #CrabRegulations #SausalitoHarbor #FishingTradition #DrowningInRegulations

Teslas now drive themselves from their birthplace at the factory to their designated loading dock lanes without human intervention One step closer to large-scale unsupervised FSD