• Ah, le Gran Casino del Sardinero, ce temple de l'art où l'on célèbre... la mémoire graphique ? Oui, vous avez bien entendu ! La nouvelle exposition de Santatipo, intitulée "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo", nous rappelle que le patrimoine graphique populaire est en danger, tout comme nos espoirs de voir un jour nos rues débarrassées des enseignes de fast-food tristement uniformisées.

    Imaginez-vous flânant dans votre quartier, admirant ces vieux panneaux qui racontent des histoires. Mais attendez ! Au lieu d'un charmant café local, vous vous retrouvez face à un énième Starbucks, où l'uniformité règne en maître. C'est beau, n'est-ce pas ? La même ambiance de "je ne sais où" à chaque coin de rue. Et qui a besoin de caractère quand on peut avoir des chaises en plastique et des lattes à la citrouille, hein ?

    Cette exposition est donc une ode à ces objets graphiques qui, pendant des décennies, ont donné vie à nos commerces. À quand remonte la dernière fois que vous avez vu un authentique "bar de quartier" ? Oh, attendez, je m'égare. Il faut d'abord passer par cette nouvelle rue piétonne, avec ses boutiques éphémères qui, tout comme les rêves de diversité, disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent.

    La réalité, c'est que les rues changent, tout comme nos souvenirs. Les rôtules, ces emblèmes de notre identité, sont remplacées par des logos anonymes qui, soyons honnêtes, pourraient aussi bien être en train de vendre des chaussettes. Alors, pour célébrer cette glorification de la banalité, pourquoi ne pas se rendre à cette exposition et admirer ce qu'il reste de notre patrimoine avant qu'il ne soit complètement effacé ?

    Nous vivons à une époque où chaque coin de rue semble avoir été dessiné par le même architecte dont le rêve ultime est de rendre chaque ville interchangeable. Merci, Santatipo, de nous rappeler que derrière chaque enseigne, il y a une histoire. Une histoire que nous avons peut-être oubliée au milieu de notre quête incessante du dernier modèle de smartphone.

    En résumé, "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo" n'est pas seulement une exposition, c'est un cri du cœur. Un cri pour que l'on se souvienne que, derrière les néons clinquants, il y a des souvenirs qui méritent d'être préservés. Alors, avant que tout ne se transforme en un immense casino de la monotonie, faisons un petit tour au Gran Casino del Sardinero. Peut-être y trouverons-nous un vestige de ce que nous avons perdu.

    #Santatipo #MémoireGraphique #IdentitéDeQuartier #GranCasinoDelSardinero #CulturePopulaire
    Ah, le Gran Casino del Sardinero, ce temple de l'art où l'on célèbre... la mémoire graphique ? Oui, vous avez bien entendu ! La nouvelle exposition de Santatipo, intitulée "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo", nous rappelle que le patrimoine graphique populaire est en danger, tout comme nos espoirs de voir un jour nos rues débarrassées des enseignes de fast-food tristement uniformisées. Imaginez-vous flânant dans votre quartier, admirant ces vieux panneaux qui racontent des histoires. Mais attendez ! Au lieu d'un charmant café local, vous vous retrouvez face à un énième Starbucks, où l'uniformité règne en maître. C'est beau, n'est-ce pas ? La même ambiance de "je ne sais où" à chaque coin de rue. Et qui a besoin de caractère quand on peut avoir des chaises en plastique et des lattes à la citrouille, hein ? Cette exposition est donc une ode à ces objets graphiques qui, pendant des décennies, ont donné vie à nos commerces. À quand remonte la dernière fois que vous avez vu un authentique "bar de quartier" ? Oh, attendez, je m'égare. Il faut d'abord passer par cette nouvelle rue piétonne, avec ses boutiques éphémères qui, tout comme les rêves de diversité, disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent. La réalité, c'est que les rues changent, tout comme nos souvenirs. Les rôtules, ces emblèmes de notre identité, sont remplacées par des logos anonymes qui, soyons honnêtes, pourraient aussi bien être en train de vendre des chaussettes. Alors, pour célébrer cette glorification de la banalité, pourquoi ne pas se rendre à cette exposition et admirer ce qu'il reste de notre patrimoine avant qu'il ne soit complètement effacé ? Nous vivons à une époque où chaque coin de rue semble avoir été dessiné par le même architecte dont le rêve ultime est de rendre chaque ville interchangeable. Merci, Santatipo, de nous rappeler que derrière chaque enseigne, il y a une histoire. Une histoire que nous avons peut-être oubliée au milieu de notre quête incessante du dernier modèle de smartphone. En résumé, "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo" n'est pas seulement une exposition, c'est un cri du cœur. Un cri pour que l'on se souvienne que, derrière les néons clinquants, il y a des souvenirs qui méritent d'être préservés. Alors, avant que tout ne se transforme en un immense casino de la monotonie, faisons un petit tour au Gran Casino del Sardinero. Peut-être y trouverons-nous un vestige de ce que nous avons perdu. #Santatipo #MémoireGraphique #IdentitéDeQuartier #GranCasinoDelSardinero #CulturePopulaire
    El Gran Casino del Sardinero acoge la nueva exposición de Santatipo sobre memoria gráfica y vida de barrio
    La muestra ‘Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo’ reivindica el valor del patrimonio gráfico popular frente a la homogeneización de las ciudades Las calles cambian, los barrios se transforman y con ellos desaparecen también los rótulos, ca
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