• Dans un monde où la technologie avance à une vitesse vertigineuse, le VHS se positionne fièrement en tant que vestige d'une époque révolue, un peu comme un dinosaure qui aurait trouvé refuge dans un musée de la pop culture. Imaginez un instant : un magnétoscope, caché sous une pile de DVD et de Blu-ray, se demandant à quel moment il a raté le coche de la modernité.

    Il semblerait que le VHS ne soit pas complètement mort, mais plutôt dans un état d'hibernation, se réveillant de temps en temps grâce à de vaillants collectionneurs qui croient fermement que chaque cassette raconte une histoire. Et qui pourrait les blâmer ? Après tout, qui n'a jamais voulu revivre la magie de "Titanic" en qualité VHS, avec des bandes qui craquent et des couleurs qui se battent pour ne pas se fondre dans le noir ? C'est un peu comme regarder un chef-d'œuvre sur un écran de téléphone de 5 pouces en pleine lumière du jour – une expérience inoubliable, mais pour toutes les mauvaises raisons.

    Le fait que les cassettes vidéo cachent leurs lecteurs est un symbole puissant de notre époque. C'est comme si le VHS avait décidé de jouer à cache-cache, prétextant que son lecteur est un accessoire trop encombrant pour être exhibé. Peut-être qu'il se dit : "Regardez, je suis vintage ! Je ne suis pas seulement une cassette, je suis une pièce d’art." Mais soyons honnêtes, qui veut vraiment exhiber un appareil qui a plus de boutons que l’interface d’un vaisseau spatial ?

    Et que dire des "dévots" de ce format ? Ces héros du quotidien qui parcourent les brocantes à la recherche de la cassette perdue de "Retour vers le Futur". Ils se déplacent avec un sérieux qui frôle la comédie, comme s'ils cherchaient le Saint Graal. C'est touchant, vraiment. Mais à un moment donné, il faut se poser la question : est-ce que ces amateurs de VHS ne pourraient pas être des défenseurs de la paix dans le monde ou des innovateurs dans le domaine des technologies vertes plutôt que de s'accrocher à une antiquité ?

    La vérité, c'est que le VHS est devenu une relique, un symbole de nostalgie pour une génération qui a grandi en attendant que la bande se déroule. Alors, la prochaine fois que vous tomberez sur un magnétoscope poussiéreux, réfléchissez bien avant de le jeter. Peut-être qu'il a encore quelques histoires à raconter, même si les seules personnes à l'écouter sont des collectionneurs en quête de leur dose de nostalgie.

    #VHS #Nostalgie #CulturePop #Vintage #Technologie
    Dans un monde où la technologie avance à une vitesse vertigineuse, le VHS se positionne fièrement en tant que vestige d'une époque révolue, un peu comme un dinosaure qui aurait trouvé refuge dans un musée de la pop culture. Imaginez un instant : un magnétoscope, caché sous une pile de DVD et de Blu-ray, se demandant à quel moment il a raté le coche de la modernité. Il semblerait que le VHS ne soit pas complètement mort, mais plutôt dans un état d'hibernation, se réveillant de temps en temps grâce à de vaillants collectionneurs qui croient fermement que chaque cassette raconte une histoire. Et qui pourrait les blâmer ? Après tout, qui n'a jamais voulu revivre la magie de "Titanic" en qualité VHS, avec des bandes qui craquent et des couleurs qui se battent pour ne pas se fondre dans le noir ? C'est un peu comme regarder un chef-d'œuvre sur un écran de téléphone de 5 pouces en pleine lumière du jour – une expérience inoubliable, mais pour toutes les mauvaises raisons. Le fait que les cassettes vidéo cachent leurs lecteurs est un symbole puissant de notre époque. C'est comme si le VHS avait décidé de jouer à cache-cache, prétextant que son lecteur est un accessoire trop encombrant pour être exhibé. Peut-être qu'il se dit : "Regardez, je suis vintage ! Je ne suis pas seulement une cassette, je suis une pièce d’art." Mais soyons honnêtes, qui veut vraiment exhiber un appareil qui a plus de boutons que l’interface d’un vaisseau spatial ? Et que dire des "dévots" de ce format ? Ces héros du quotidien qui parcourent les brocantes à la recherche de la cassette perdue de "Retour vers le Futur". Ils se déplacent avec un sérieux qui frôle la comédie, comme s'ils cherchaient le Saint Graal. C'est touchant, vraiment. Mais à un moment donné, il faut se poser la question : est-ce que ces amateurs de VHS ne pourraient pas être des défenseurs de la paix dans le monde ou des innovateurs dans le domaine des technologies vertes plutôt que de s'accrocher à une antiquité ? La vérité, c'est que le VHS est devenu une relique, un symbole de nostalgie pour une génération qui a grandi en attendant que la bande se déroule. Alors, la prochaine fois que vous tomberez sur un magnétoscope poussiéreux, réfléchissez bien avant de le jeter. Peut-être qu'il a encore quelques histoires à raconter, même si les seules personnes à l'écouter sont des collectionneurs en quête de leur dose de nostalgie. #VHS #Nostalgie #CulturePop #Vintage #Technologie
    Video Tape Hides Video Player
    While it might not be accurate to say VHS is dead, it’s certainly not a lively format. It continues on in undeath thanks to dedicated collectors and hobbyists, some of …read more
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  • Ah, le Gran Casino del Sardinero, ce temple de l'art où l'on célèbre... la mémoire graphique ? Oui, vous avez bien entendu ! La nouvelle exposition de Santatipo, intitulée "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo", nous rappelle que le patrimoine graphique populaire est en danger, tout comme nos espoirs de voir un jour nos rues débarrassées des enseignes de fast-food tristement uniformisées.

    Imaginez-vous flânant dans votre quartier, admirant ces vieux panneaux qui racontent des histoires. Mais attendez ! Au lieu d'un charmant café local, vous vous retrouvez face à un énième Starbucks, où l'uniformité règne en maître. C'est beau, n'est-ce pas ? La même ambiance de "je ne sais où" à chaque coin de rue. Et qui a besoin de caractère quand on peut avoir des chaises en plastique et des lattes à la citrouille, hein ?

    Cette exposition est donc une ode à ces objets graphiques qui, pendant des décennies, ont donné vie à nos commerces. À quand remonte la dernière fois que vous avez vu un authentique "bar de quartier" ? Oh, attendez, je m'égare. Il faut d'abord passer par cette nouvelle rue piétonne, avec ses boutiques éphémères qui, tout comme les rêves de diversité, disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent.

    La réalité, c'est que les rues changent, tout comme nos souvenirs. Les rôtules, ces emblèmes de notre identité, sont remplacées par des logos anonymes qui, soyons honnêtes, pourraient aussi bien être en train de vendre des chaussettes. Alors, pour célébrer cette glorification de la banalité, pourquoi ne pas se rendre à cette exposition et admirer ce qu'il reste de notre patrimoine avant qu'il ne soit complètement effacé ?

    Nous vivons à une époque où chaque coin de rue semble avoir été dessiné par le même architecte dont le rêve ultime est de rendre chaque ville interchangeable. Merci, Santatipo, de nous rappeler que derrière chaque enseigne, il y a une histoire. Une histoire que nous avons peut-être oubliée au milieu de notre quête incessante du dernier modèle de smartphone.

    En résumé, "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo" n'est pas seulement une exposition, c'est un cri du cœur. Un cri pour que l'on se souvienne que, derrière les néons clinquants, il y a des souvenirs qui méritent d'être préservés. Alors, avant que tout ne se transforme en un immense casino de la monotonie, faisons un petit tour au Gran Casino del Sardinero. Peut-être y trouverons-nous un vestige de ce que nous avons perdu.

    #Santatipo #MémoireGraphique #IdentitéDeQuartier #GranCasinoDelSardinero #CulturePopulaire
    Ah, le Gran Casino del Sardinero, ce temple de l'art où l'on célèbre... la mémoire graphique ? Oui, vous avez bien entendu ! La nouvelle exposition de Santatipo, intitulée "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo", nous rappelle que le patrimoine graphique populaire est en danger, tout comme nos espoirs de voir un jour nos rues débarrassées des enseignes de fast-food tristement uniformisées. Imaginez-vous flânant dans votre quartier, admirant ces vieux panneaux qui racontent des histoires. Mais attendez ! Au lieu d'un charmant café local, vous vous retrouvez face à un énième Starbucks, où l'uniformité règne en maître. C'est beau, n'est-ce pas ? La même ambiance de "je ne sais où" à chaque coin de rue. Et qui a besoin de caractère quand on peut avoir des chaises en plastique et des lattes à la citrouille, hein ? Cette exposition est donc une ode à ces objets graphiques qui, pendant des décennies, ont donné vie à nos commerces. À quand remonte la dernière fois que vous avez vu un authentique "bar de quartier" ? Oh, attendez, je m'égare. Il faut d'abord passer par cette nouvelle rue piétonne, avec ses boutiques éphémères qui, tout comme les rêves de diversité, disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent. La réalité, c'est que les rues changent, tout comme nos souvenirs. Les rôtules, ces emblèmes de notre identité, sont remplacées par des logos anonymes qui, soyons honnêtes, pourraient aussi bien être en train de vendre des chaussettes. Alors, pour célébrer cette glorification de la banalité, pourquoi ne pas se rendre à cette exposition et admirer ce qu'il reste de notre patrimoine avant qu'il ne soit complètement effacé ? Nous vivons à une époque où chaque coin de rue semble avoir été dessiné par le même architecte dont le rêve ultime est de rendre chaque ville interchangeable. Merci, Santatipo, de nous rappeler que derrière chaque enseigne, il y a une histoire. Une histoire que nous avons peut-être oubliée au milieu de notre quête incessante du dernier modèle de smartphone. En résumé, "Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo" n'est pas seulement une exposition, c'est un cri du cœur. Un cri pour que l'on se souvienne que, derrière les néons clinquants, il y a des souvenirs qui méritent d'être préservés. Alors, avant que tout ne se transforme en un immense casino de la monotonie, faisons un petit tour au Gran Casino del Sardinero. Peut-être y trouverons-nous un vestige de ce que nous avons perdu. #Santatipo #MémoireGraphique #IdentitéDeQuartier #GranCasinoDelSardinero #CulturePopulaire
    El Gran Casino del Sardinero acoge la nueva exposición de Santatipo sobre memoria gráfica y vida de barrio
    La muestra ‘Bajo a hacer un recao. Ahora vuelvo’ reivindica el valor del patrimonio gráfico popular frente a la homogeneización de las ciudades Las calles cambian, los barrios se transforman y con ellos desaparecen también los rótulos, ca
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