Dans un monde où la pression est plus forte que la raison, il semble que certains aient décidé de jouer à un jeu très dangereux : l'assassinat de marque. Oui, vous avez bien entendu. Hernán Cerdeiro, le prétendu "maître de campagne", a trouvé le moyen de transformer Old Jamaica en un véritable cas d'école de ce qu'on pourrait appeler un "suicide commercial". Ne vous inquiétez pas, c'était tout sauf un acte de foi.

Imaginez la scène : un groupe de génies du marketing se réunissant autour d'une table pour concocter la recette parfaite de la destruction d'une marque. "Ne revenez pas sur vos pas, ne cédez pas à la pression et surtout, ne pliez pas !", auraient-ils crié avec des yeux pétillants d'enthousiasme. En gros, l'idée était de faire en sorte que le monde entier sache que Old Jamaica ne mérite plus sa place sur le podium des boissons.

Alors, comment a-t-il réussi cet exploit ? En utilisant la méthode classique de la viralité, bien sûr. Parce que quoi de mieux que de faire du buzz en tuant un produit qui, avouons-le, avait déjà plus de vie que la plupart des tendances sur TikTok ? Avec des slogans accrocheurs et une stratégie qui vous ferait penser que la marque elle-même a demandé à être détruite, Cerdeiro a prouvé qu'il n'y a rien de plus puissant que l'ironie et le sarcasme dans le monde du marketing.

Mais attention, chers lecteurs, ne vous laissez pas berner. Ce n'est pas seulement une question de créativité. Il s'agit aussi de savoir comment exploiter la peur et la fascination du public pour le drame. "Regardez comme nous avons tué Old Jamaica !", pourraient-ils lancer en se tapant dans les mains, comme des enfants qui viennent de recevoir un bonbon. La compétence réside dans cette capacité à transformer une simple boisson en sujet de conversation, même si cela signifie la condamner.

À la fin de la journée, l'assassinat de marque est devenu le nouveau sport collectif du marketing. Qui a besoin de lancer un nouveau produit quand on peut simplement détruire l'ancien et regarder le monde s'enflammer sur les réseaux sociaux ? C'est l'ère où l'on ne peut plus reculer, où l'on ne peut pas faire machine arrière. S'il vous plaît, ne pliez pas aux pressions, et surtout, n'oubliez pas de prendre des notes sur la manière de tirer profit d'une tragédie.

Ainsi, cher public, si vous croisez bientôt une bouteille d'Old Jamaica, souvenez-vous que derrière chaque gorgée se cache une histoire de sabotage marketing. Un toast à la créativité destructrice !

#MarketingSatire
#OldJamaica
#ViralAssassination
#BrandDestruction
#HernánCerdeiro
Dans un monde où la pression est plus forte que la raison, il semble que certains aient décidé de jouer à un jeu très dangereux : l'assassinat de marque. Oui, vous avez bien entendu. Hernán Cerdeiro, le prétendu "maître de campagne", a trouvé le moyen de transformer Old Jamaica en un véritable cas d'école de ce qu'on pourrait appeler un "suicide commercial". Ne vous inquiétez pas, c'était tout sauf un acte de foi. Imaginez la scène : un groupe de génies du marketing se réunissant autour d'une table pour concocter la recette parfaite de la destruction d'une marque. "Ne revenez pas sur vos pas, ne cédez pas à la pression et surtout, ne pliez pas !", auraient-ils crié avec des yeux pétillants d'enthousiasme. En gros, l'idée était de faire en sorte que le monde entier sache que Old Jamaica ne mérite plus sa place sur le podium des boissons. Alors, comment a-t-il réussi cet exploit ? En utilisant la méthode classique de la viralité, bien sûr. Parce que quoi de mieux que de faire du buzz en tuant un produit qui, avouons-le, avait déjà plus de vie que la plupart des tendances sur TikTok ? Avec des slogans accrocheurs et une stratégie qui vous ferait penser que la marque elle-même a demandé à être détruite, Cerdeiro a prouvé qu'il n'y a rien de plus puissant que l'ironie et le sarcasme dans le monde du marketing. Mais attention, chers lecteurs, ne vous laissez pas berner. Ce n'est pas seulement une question de créativité. Il s'agit aussi de savoir comment exploiter la peur et la fascination du public pour le drame. "Regardez comme nous avons tué Old Jamaica !", pourraient-ils lancer en se tapant dans les mains, comme des enfants qui viennent de recevoir un bonbon. La compétence réside dans cette capacité à transformer une simple boisson en sujet de conversation, même si cela signifie la condamner. À la fin de la journée, l'assassinat de marque est devenu le nouveau sport collectif du marketing. Qui a besoin de lancer un nouveau produit quand on peut simplement détruire l'ancien et regarder le monde s'enflammer sur les réseaux sociaux ? C'est l'ère où l'on ne peut plus reculer, où l'on ne peut pas faire machine arrière. S'il vous plaît, ne pliez pas aux pressions, et surtout, n'oubliez pas de prendre des notes sur la manière de tirer profit d'une tragédie. Ainsi, cher public, si vous croisez bientôt une bouteille d'Old Jamaica, souvenez-vous que derrière chaque gorgée se cache une histoire de sabotage marketing. Un toast à la créativité destructrice ! #MarketingSatire #OldJamaica #ViralAssassination #BrandDestruction #HernánCerdeiro
"Don’t backtrack, don’t bottle it and don’t bow to pressure" – how we killed Old Jamaica
Campaign mastermind Hernán Cerdeiro reveals how he crafted the world's first viral brand assassination.
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