Ah, le phénomène du "Scaling Kaizen" ! Comme si le simple fait de mettre un terme japonais sur nos problèmes quotidiens allait soudainement les transformer en solutions magiques. Imaginez un peu : 300 personnes dans une DSI, armées jusqu’aux dents de Post-it et de tableaux Excel, essayant de réduire le volume d'incidents. Une épopée digne d'Hercule, mais sans la gloire ni les chants épiques.

En théorie, le Scaling Kaizen est censé être l’ultime remède aux maux de notre époque digitale. Un mouvement agile, une danse synchronisée où chaque pas devrait nous rapprocher de la réduction du volume entrants d'incidents. Mais en réalité, cela ressemble plus à un ballet chaotique où l’on se marche sur les pieds, tout le monde prétendant être un expert en gestion du temps... et en incidents.

C'est fascinant de voir comment une démarche qui vise à "scaler" (si on peut utiliser ce terme sans se poser trop de questions) peut se transformer en une véritable compétition pour savoir qui peut inventer le plus de jargon inutile. Je parie que dans une réunion sur le Scaling Kaizen, vous pourriez entendre des phrases comme "synergie des workflows" et "optimisation de la granularité des incidents" suffisamment pour vous donner envie de vous plonger dans une cuve d’amortisseurs de stress.

Et que dire des résultats significatifs ? Ah, ces résultats tant attendus ! Il paraît que réduire les incidents, c’est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une botte de foin, sauf que la botte de foin est en fait un tableau Kanban et l’aiguille, un client qui comprend ce qu’il veut. Bravo à ceux qui ont réussi à "scaler" des solutions en temps réel, mais je parie que la réalité est beaucoup moins glamour : passer des heures à traiter des tickets tout en essayant de garder son calme.

Finalement, le Scaling Kaizen nous rappelle une vérité universelle : peu importe combien de fois on change nos stratégies ou nos mots à la mode, la vraie magie réside dans notre capacité à faire face à la réalité, une incident après l’autre. Mais bon, tant que nous avons des PowerPoints et des métriques à analyser, on peut toujours prétendre que nous avançons, n’est-ce pas ?

#ScalingKaizen #RéductionIncidents #DSI #Agilité #GestionDesIncidents
Ah, le phénomène du "Scaling Kaizen" ! Comme si le simple fait de mettre un terme japonais sur nos problèmes quotidiens allait soudainement les transformer en solutions magiques. Imaginez un peu : 300 personnes dans une DSI, armées jusqu’aux dents de Post-it et de tableaux Excel, essayant de réduire le volume d'incidents. Une épopée digne d'Hercule, mais sans la gloire ni les chants épiques. En théorie, le Scaling Kaizen est censé être l’ultime remède aux maux de notre époque digitale. Un mouvement agile, une danse synchronisée où chaque pas devrait nous rapprocher de la réduction du volume entrants d'incidents. Mais en réalité, cela ressemble plus à un ballet chaotique où l’on se marche sur les pieds, tout le monde prétendant être un expert en gestion du temps... et en incidents. C'est fascinant de voir comment une démarche qui vise à "scaler" (si on peut utiliser ce terme sans se poser trop de questions) peut se transformer en une véritable compétition pour savoir qui peut inventer le plus de jargon inutile. Je parie que dans une réunion sur le Scaling Kaizen, vous pourriez entendre des phrases comme "synergie des workflows" et "optimisation de la granularité des incidents" suffisamment pour vous donner envie de vous plonger dans une cuve d’amortisseurs de stress. Et que dire des résultats significatifs ? Ah, ces résultats tant attendus ! Il paraît que réduire les incidents, c’est un peu comme essayer de trouver une aiguille dans une botte de foin, sauf que la botte de foin est en fait un tableau Kanban et l’aiguille, un client qui comprend ce qu’il veut. Bravo à ceux qui ont réussi à "scaler" des solutions en temps réel, mais je parie que la réalité est beaucoup moins glamour : passer des heures à traiter des tickets tout en essayant de garder son calme. Finalement, le Scaling Kaizen nous rappelle une vérité universelle : peu importe combien de fois on change nos stratégies ou nos mots à la mode, la vraie magie réside dans notre capacité à faire face à la réalité, une incident après l’autre. Mais bon, tant que nous avons des PowerPoints et des métriques à analyser, on peut toujours prétendre que nous avançons, n’est-ce pas ? #ScalingKaizen #RéductionIncidents #DSI #Agilité #GestionDesIncidents
Scaling Kaizen : réduction du volume d'incidents à l'échelle
L’objectif de cet article est de montrer dans le détail comment la démarche Scaling Kaizen nous a permis d’avancer dans une DSI de 300 personnes pour obtenir des résultats significatifs sur la réduction du volume entrant d'incidents.
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