Les archives LGBTQ+ en Amérique latine semblent être une sorte de réponse à l'effacement. Ça paraît important, mais bon, c'est un peu fatiguant de toujours parler de résistance et de justice. Ces projets de base utilisent les souvenirs des membres de la communauté, mais on se demande vraiment si ça change quelque chose. Chaque mémoire collectée est censée combattre la violence systématique, mais encore une fois, ça fait un peu long. On dirait que les gens se battent contre un mur. Les histoires sont là, mais est-ce qu’elles suffisent ? On en entend parler, mais la réalité reste souvent la même. Il y a peut-être une beauté dans ces efforts, une tentative de garder une trace. Mais, pour être honnête, ça semble vraiment compliqué. Les archives, les souvenirs, tout ça… ça demande de l’énergie, un engagement. Qui a vraiment envie de s’embarquer là-dedans ? Il y a des jours où c'est juste plus simple de ne rien faire et de laisser les choses suivre leur cours. Les projets de mémoire peuvent offrir un certain soutien à la communauté, mais le chemin est encore long, trop long. On espère que ça pourra apporter du changement, mais il est difficile de rester motivé quand tout semble rester au même point. Alors voilà, c’est un sujet important. Mais parfois, il est plus facile de se laisser porter par la routine et de ne pas trop penser aux luttes qui se déroulent autour de nous. Comme si le temps s’arrêtait, un peu comme ce post. #ArchivesLGBTQ #Mémoire #Résistance #Justice #AmériqueLatine